SORTIE À LA SUCRIÈRE
La Sucrière, un musée d’art
contemporain, que les élèves de CM2 des Deux Chênes
ont visité pour la dixième biennale d’art
contemporain.
Jeudi 26 novembre, les CM2 sont partis à la Sucrière
de Lyon, ancienne usine à sucre transformée en musée
d’art contemporain. Les élèves y sont arrivés
vers 9h30 puis sont rentrés à l’école
vers 11h45. Arrivés sur place, ils sont répartis
en trois groupes avec des guides. Chaque groupe a visité l’exposition.
Le groupe 1 est allé voir les tours que l’artiste
Takira Iwasaki a réalisées avec des fils de serviettes.
Agnès Varda a réalisé un film qui n’a
pas eu de succès. Alors, elle a utilisé les pellicules
de ce film pour en faire une cabane. Une pièce reconstituée
où l’on se croyait dans une rue était proposée
par Barry McGee. Il y avait aussi une pièce où des
mots descendaient d’un écran avec le bruit de la pluie.
Le groupe 2 a vu toutes sortes d’oeuvres avec différents
matériaux : une cabane en pellicules, des voitures
cabossées, des tags et graffitis, un portail qui frappe
contre un mur et qui s’effondre petit à petit par
Shilpa Gupta, un tableau noir de Dan Perjovchi où il y avait énormément
de dessins de la vie quotidienne. Michael Lin expose une épicerie
de Shanghai.
Le groupe 3 a d’abord vu des pelles, très
symboliques :
l’artiste Pedro Reyes a récupéré les
armes à feu de ceux qui en possédaient au Mexique
en échange d’un ordinateur. Puis, il les a écrasées
et a fait fondre le métal
pour fabriquer ces pelles utilisées ensuite pour planter
des arbres à l’hôpital mère-enfant de
Bron. L’œuvre était accompagnée de vidéos.
La deuxième œuvre était un petit 4X4 télécommandé qui
roulait dans la ville de New York, filmé à sa hauteur.
Du coup, les autres voitures semblaient géantes. C’était
pour montrer le problème de la pollution. Cette oeuvre a été réalisée
par HE HE. Ensuite, ils ont vu la maquette d’une ville que
le visiteur pouvait voir de toutes les couleurs et de toutes les
hauteurs. Il y avait aussi des fonds sonores. Ils ont regardé aussi
l’œuvre de Dan Perjovchi, les tags de Barry McGee qui
voulait dire que chacun a sa façon de s’exprimer et
enfin, la terre, fragile de Sarah Sze.
Les élèves
de CM2
Visitez le site de la biennale : http://www.biennaledelyon.com/ |